Domaine des Campiglio
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Vicomté d'Ambrières, Maine.
 
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 Arrivé d'Olorin

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0lorin

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Date d'inscription : 07/07/2009

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MessageSujet: Arrivé d'Olorin   Arrivé d'Olorin I_icon_minitimeMar 7 Juil 2009 - 22:19

Un pigeon, se profila à l'horizon. A sa manière de voler, on pouvait deviner que celui-ci volait depuis un longue distance, ou qu'il n'était plus très jeune. Il se trouve qu'en réalité, il s'agissait des deux cas.

Dans un dernier battement d'ail, il vint atterrir au pied du garde. De son oeil, on pouvais lire un soulagement, mais également la fierté d'avoir réussi cette mission, qui selon lui, devais être d'une extreme importance (pour utiliser un pigeon sur une tel distance, seul un message de la plus haute importance devait être communiqué au maître de ce manoir).

Dans un dernier souffle, il leva sa pâte, et dévoila le message qui y été accroché.

Sur cette lettre, on pouvait y lire :




Mon ami, Dimaro,

Difficile a été de te retrouver. C’est par le plus grand des hasards que j’ai eu de tes nouvelles, et cela, juste au moment ou je pensais renoncer à l’alcool.

J’imagine que ta mémoire doit te faire défaut, alors je vais te conter ma petite histoire depuis que nous nous sommes perdu de vue.

Nous, les Mousquetons, étions en voyage pour x raison en Limousin(retrouver ma femme que j’avais lâchement abandonné entre autre) et nous nous sommes fait attaquer tout les deux par de vils briguants, qui selon mon souvenir, nous étaient tombés à 5 contre 1 au moins. J’ai beaucoup veillé à ton chevet, mes blessures étant superficiels par rapport aux tiennes. Aussi, le 5ème jours, j’ai décidé de m’octroyer quelques heures de repos en me promenant prêt d’une rivière. Ce repos fut de courte durée, car pendant que mon esprit vagabondé, me voila tombant nez à nez avec un de nos ravisseurs. Vaillant, je me dirigea à toute vitesse vers ce bougre en criant de toute voix «Un portos et tous pour l’vin» !! A ce moment la, l’homme ne bougea pas et me regarda foncer sur lui, impassible. Tout ce passa vite, 3 mètres avant de l’atteindre, mon pied gauche se prit dans ma cape, et voila que je faisais une entrée fracassante dans l’eau...

Quand je repris connaissance, il faisais nuit, j’étais trempé, j’avais froide, et ma gourdasse était vide. Je te passe les détails sur la façon dont je me suis fait voler mes vêtements par un écureuil, conservant que cette maudite cape, et ma toque fétiche. Je me remis à Dame Lune pour vous retrouver. Nuit et jours, j'errais tel le loup, arpentant la forêt à la recherche de ma horde. En communion avec la nature, je me dirigeai au son du vent, suivant chaque indice que Dame Nature voulais bien me laisser, une crotte de sanglier par la, un craquement de bois un peu plus bas. Enfin, je distingua un village. Avignoun comme ils l’appellent. Ce village me semblais fort sympathique, en apparence. On y parle avec un accent chantant aux oreilles, la langue d’Oc (j’ai appris d'ailleurs quelques injures dont il me presse de t’en instruire). Mais très vite, la façon donc j’était accoutré ne leurs plus guère (une cape me servait de jupe, à la manière des dames, et ma toque me servait à récolter quelques écus, mais à bien y repensé, c’est quand je me présenta sous le nom de Robblochon que mes ennuis on commencé). De plus, une remarque sur la bêtise de conserver un pont casser me valu d'être accusé hérésie. Aussitôt arrivé, je m'enfuie vers de nouveau horizon. Par prudence, je changea mon nom, en revenant à ma vraie identité, celle d’avant Robb, soit Olorin.

Je m’installa à Nîmes, charmant village ou il n’y a pas âme qui vive. Passant mes journées en tavernes à maudire mon sort, je pris la résolution de repartir à votre recherche et de ne plus jamais remettre le pied en tavernes si je ne vous retrouvez pas. Pour m’encourager à cela, je m’accorda une dernière beuverie. Un ménestrel se trouvait la, dans un coin du bar. Le pauvre chantait tellement mal, que je me sentais obliger de lui lancer quelques objets de temps en temps pour qui cesse le massacre. Et c’est à ce moment la, qu’il parla un dénommé Dimaro di machin (pardonne moi, mais tu sais bien que je ni jamais pu retenir tous tes noms) qui organisait quelques sauteries pour les grands du Royaume. Je réussi à faire parler le ménestrel, d’une façon plus ou moins violente, celui-ci ne voulant pas me dire ou je pouvais te trouver. Il cracha le morceau, et je décidai de t’envoyer sur le champ cette présente lettre.

Dieu m’a entendu, et m’a permis de te retrouver avant que je décide de ne plus aller en taverne. Je t’envoie mon meilleur pigeon, Raoul, qui saura te retrouver, enfin, selon le marauds qui me la vendue.

J’espère à très bientôt, prend soin de toi, et embrasse mes amis pour moi.

Ton ami Robb, Olorin
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